Apporter son soutien fait aussi du bien
De nombreuses études montrent qu’aider son prochain ça fait du bien ! S’entraider, donner de son temps, faire preuve de bonté, d’altruisme et de solidarité renforce non seulement notre santé mentale mais déclenche aussi des réactions physiques bénéfiques.
Apporter son soutien fait aussi du bien
De nombreuses études montrent qu’aider son prochain ça fait du bien ! S’entraider, donner de son temps, faire preuve de bonté, d’altruisme et de solidarité renforce non seulement notre santé mentale mais déclenche aussi des réactions physiques bénéfiques.
Apporter son soutien fait aussi du bien
De nombreuses études montrent qu’aider son prochain ça fait du bien ! S’entraider, donner de son temps, faire preuve de bonté, d’altruisme et de solidarité renforce non seulement notre santé mentale mais déclenche aussi des réactions physiques bénéfiques.
Apporter son soutien fait aussi du bien
De nombreuses études montrent qu’aider son prochain ça fait du bien ! S’entraider, donner de son temps, faire preuve de bonté, d’altruisme et de solidarité renforce non seulement notre santé mentale mais déclenche aussi des réactions physiques bénéfiques.
Apporter son soutien fait aussi du bien
De nombreuses études montrent qu’aider son prochain ça fait du bien ! S’entraider, donner de son temps, faire preuve de bonté, d’altruisme et de solidarité renforce non seulement notre santé mentale mais déclenche aussi des réactions physiques bénéfiques.
Apporter son soutien fait aussi du bien
De nombreuses études montrent qu’aider son prochain ça fait du bien ! S’entraider, donner de son temps, faire preuve de bonté, d’altruisme et de solidarité renforce non seulement notre santé mentale mais déclenche aussi des réactions physiques bénéfiques.
Apporter son soutien fait aussi du bien
De nombreuses études montrent qu’aider son prochain ça fait du bien ! S’entraider, donner de son temps, faire preuve de bonté, d’altruisme et de solidarité renforce non seulement notre santé mentale mais déclenche aussi des réactions physiques bénéfiques.
" Il faut se dire qu'à chaque fois que je suis dans la bienveillance, l'entraide, l'altruisme, la gratitude, ça fait du bien à mon corps - Rebecca Shankland, psychologue
L'entraide repose donc sur un fonctionnement mutuel où l'équilibre entre recevoir ET donner est essentiel. Ainsi, notre niveau de bien-être est le plus haut lorsque nous nous engageons dans une relation réciproque. Cela veut-il dire que plus nous aidons et nous mettons au service d’autrui, plus nous sommes heureux·se ? Et bien non ! Là encore, tout est une question d’équilibre. Les études montrent qu’à partir d’un certain point, aider autrui devient nocif pour notre santé et peut même conduire à un burnout. En réalité, deux heures de bénévolat par semaine suffisent pour en ressentir les bienfaits.
"Le seul remède, c'est la solidarité" - Heinz Bude, sociologue - Regarder le documentaire complet | ARTE
Mais est-ce toujours possible d’aider les autres, de rendre la pareille ? Par exemple, il est parfois difficile, voire impossible, pour certaines personnes vulnérables ou en situation précaire d’accepter de l’aide par crainte de ne pouvoir rembourser leur “dette d’aide” de manière appropriée. La qualité de nos relations sociales, comme tous les autres facteurs qui déterminent notre santé mentale, est grandement influencée par nos conditions de vie socio-économiques, notre environnement et le contexte sociétal dans lequel nous vivons. Et cet équilibre, entre donner et recevoir, est parfois difficile à trouver, voire hors de portée.
On ne peut en effet pas être disponible pour les autres si on est dans une situation de détresse soi-même, qu’elle soit sociale, psychologique ou financière. Soutenir un proche peut être épuisant. Je peux me sentir dépassé par mes émotions. Il est important de connaître mes limites et de les respecter, pour ne pas me mettre moi-même en danger. En effet, je ne peux pas aider quand je suis fragilisé. Si je ne me sens pas prêt, il est plus efficace de passer la main en sollicitant une autre personne que mon proche connait, ou bien un professionnel. Je peux aussi appeler une ligne de soutien psychologique pour moi-même, lorsque j’en ressens le besoin.
Les groupes d’entraide autogérés mettent en relation des personnes faisant face au même problème ou vivant une situation similaire (maladie, deuil, divorce, proches aidant.e.s, etc.), et qui se réunissent pour s’entraider.
Nous sommes des animaux sociaux, sociables, fragiles, nous devons notre survie grâce aux liens solidaires et d’entraide. - Rebecca Shankland, psychologue
- Info Entraide Suisse répertorie les groupes d'entraide autogérés de Suisse
- Ensa Switzerland propose des formations de premiers secours en santé mentale
- Saltzman, K. M., & Holahan, C. J. (2002). Social Support, Self-efficacy, And Depressive Symptoms: An Integrative Model. Journal of Social and Clinical Psychology, 21(3), 309‑322. – Gadalla, T. M. (2009). Sense of Mastery, Social Support, and Health in Elderly Canadians. Journal of Aging and Health, 21(4), 581‑595.
https://doi.org/10.1177/0898264309333318 - Gallagher, E. N., & Vella-Brodrick, D. A. (2008). Social support and emotional intelligence as predictors of subjective well-being. Personality and Individual Differences, 44(7), 1551‑1561.
https://doi.org/10.1016/j.paid.2008.01.011 - Kaniasty, K. (20110411). Predicting social psychological well-being following trauma: The role of postdisaster social support. Psychological Trauma: Theory, Research, Practice, and Policy, 4(1), 22.
https://doi.org/10.1037/a0021412 - Yıldırım, M., & Tanrıverdi, F. Ç. (2020). Social Support, Resilience and Subjective Well-being in College Students. Journal of Positive School Psychology, FirstView articles, Article FirstView articles.
https://journalppw.com/index.php/JPPW/article/view/229 - Blaser, M.; Amstad, F. T. (Eds.) (2016). La santé psychique au cours de la vie. Rapport de base. Promotion Santé Suisse Rapport 6, Berne et Lausanne
- Uchino, B. N. (2006). Social Support and Health : A Review of Physiological Processes Potentially Underlying Links to Disease Outcomes. Journal of Behavioral Medicine, 29(4), 377‑387.
https://doi.org/10.1007/s10865-006-9056-5 - Pantelidou, S., K.J. Craig, T. Social Psychiatry and Psychiatric Epidemiology.
https://link.springer.com/content/pdf/10.1007/s00127-006-0096-5.pdf - Pereira, A., Dubath, C., & Trabichet A.-M. (2021). Les déterminants de la santé mentale : Synthèse de la littérature scientifique (minds 01/2021). Genève : minds – Promotion de la santé mentale à Genève https://minds-ge.ch/2021/04/29/les-determinants-de-la-sante-mentale